Quand j’ai commencé la méditation il y a 7ans, je me suis un peu cassée les dents sur les pratiques traditionnelles, genre assises et silencieuses.

Déjà, je suis quelqu’un d’assez mental de base. Et autant aujourd’hui je sais en faire une force, autant il y a 7 ans, c’était Bagdad dans ma tête !

Et je vous assure qu’à ce moment-là, m’assoir en silence et ne penser à rien…c’était plutôt une blague pour moi.

J’ai persévérer pendant des années avec ce sentiment que mes pratiques étaient creuses. Elles manquaient de quelque chose, de fond, de sens.

Et aujourd’hui, avec ma casquette de facilitatrice en méditation, j’accompagne beaucoup de personne qui en sont là où j’en étais il y a 7 ans, mais aussi là où j’en étais encore il y a 6, 5, 4 ans, à me butter sur des pratiques que je trouvaient toujours aussi chiantes, en continuant à me dire qu’à force il se passerait forcément quelque chose.

Ce qu’on ne nous dit pas sur la méditation

Seulement voilà, dans les 10.000 supports gratuits de méditation qu’il existe partout, aucun ne m’a expliqué ce qui fait vraiment la différence et ce qui pourrait rendre la méditation moins chiante.

Aucun ne m’a expliqué que notre esprit est tellement stimulé au quotidien, qu’il est hyper compliqué pour lui de se concentrer sur des temps de silence dans lesquels rien ne se passe.

Ou ne m’a expliqué comment faire pour travailler ça sans créer de la frustration, voir du rejet de la pratique.

Ni ne m’a appris que la méditation ne sert pas à s’offrir une parenthèse en dehors du quotidien. Ni à s’échapper de ce qui est vivant en soi. Au contraire, la méditation est un outil pour apprendre à se connaître et à s’accueillir entièrement, dans la paix. Pour créer une reliance avec la vie.

Aucun n’a réellement posé des mots sur ce qui m’aurait aidé à passer d’une pratique creuse qui a duré des années. A une pratique qui me rempli et est une vraie clé d’ouverture de conscience pour moi aujourd’hui.

Aucun ne m’a proposé quelque chose qui me corresponde réellement.

Et, tout ça c’est super chiant. S’assoir en silence, sans savoir finalement comment et pourquoi on le fait, d’une façon qui est aux antipodes de notre façon de fonctionner, c’est super chiant.

Les bons outils pour pratiquer

En fin de compte, il m’aura fallu toutes ces années pour en comprendre le sens, mais surtout pour trouver ce qui est bon pour moi ! Ce qui est bon pour la personne mentale que je suis, la personne normale que je suis. Et ce qui est bon pour moi, ce n’est pas que la méditation assise et silencieuse. Ce sont des pratiques qui soient aussi actives que moi, vivantes comme moi. Des pratiques qui sachent me prendre où j’en suis et qui puissent évoluer selon comment j’avance et comment je me sens. Avec autour de ça, de la COMPREHENSION. Parce que nous sommes des êtres pensants, et que même si cela est moindre dans le temps, nous avons besoin de mettre du sens dans ce que nous faisons.

Aussi, dans “Les clés de la conscience”, je propose ce que j’aurai aimé trouver pour moi-même il y a 7ans. J’aurai gagné du temps, de l’énergie, et de l’argent sur ce chemin de reconnexion à soi et d’ouverture de conscience.

Si ça te parle et que toi aussi tu as envie de donner du sens à tes pratiques, pour gagner du temps, de l’énergie et de l’argent, dans ta quête de dépouillement personnel, de confiance et d’amour de toi, alors viens en discuter !

Sinon, tu peux aussi nous partager en commentaire ton expérience de la méditation. Pourquoi tu as commencé la méditation ? Et comment ça s’est passé pour toi ?